vendredi 21 septembre 2007

Une question de choix


Il paraît qu’en voyage on est coupé du monde. Pas d’infos, pas de journaux, pas de nouvelles.

Et chez nous, dans nos petites maisons, est-on plus au courant ? Plus impliqué ?

Le monde est grand. Difficile et peut-être pas forcément utile de connaître tous les faits qu’il s’y passe à chaque instant dans chaque lieu. Mais oui, je pense qu’il est intéressant de se rendre compte des problèmes, avancées, faits et méfaits, liens, dépendances et interdépendances qui ont lieu du petit coin de terre à deux rues de chez soi, à la région désertique de cet autre hémisphère, à la zone surpeuplée de cet autre continent. Avoir ces informations, y réfléchir autant qu’on peut, se cultiver, continuer à affiner son opinion, ses idées, tout au long de la vie, c’est déjà un pas vers changer le monde.
Ce monde est si vaste, si interconnecté et si complexe qu’on ne pourra jamais le changer de son chez soi d’un simple claquement de doigts. Mais comprendre certains mécanismes nous permettra de réaliser, qu’au fond, nous avons du pouvoir. Le pouvoir de changer notre vie, petit à petit, chaque jour, chaque instant durant, pour que tout ce que l’on fasse aille au maximum dans le sens que l’on a choisi.

« Tout ce que tu vois dans le monde est le résultat de l’idée que tu t’en fais. »

« Ce n’est pas votre faute, dites-vous, et en cela vous avez raison. Ce n’est pas une question de faute, c’est une question de choix ». « La vie est une création et non une découverte. Tu ne vis pas chaque jour pour découvrir ce qu’il te réserve, mais pour le créer. »

« Avant, tu vivais ta vie comme si elle n’avait aucun but. A présent tu sais qu’elle n’a aucun but, sauf celui que tu lui donnes »

Neale Donald Walsch, « Conversation avec dieu », Tome 1.

2 commentaires:

Nous a dit…

‘‘The Kingdom of Heaven is not a place, but a state of mind.’’ - John Burroughs, American essayist (1837-1921)

Je lis dans les journaux Congres de Psychiatrie 20/9
« Le soleil contre les suicides !
Quoi ont-ils en commun les habitants de notre pays avec les habitants du Pérou, de Jamaïque, de l'Albanie et du Paraguay ?
Ils ont le pourcentage le plus bas de suicides au monde ! Plus spécialement, en Grèce l'indicateur de suicides est particulièrement bas et il est compté parmi les plus bas d'Europe, mais aussi du monde, avec 5 suicides /100.000 personnes, tandis que des pays comme celles de l'Europe orientale ont 90/100.000 personnes! »

Nous a dit…

En vélo autour du lac Titicaca….. un don des dieux

Pendant des millénaires, l'humanité a assimilé l'eau à un élément non modifiable du globe comme l'air.
Dans un monde essentiellement rural, l'eau était largement déconnectée des circuits économiques car la source, la rivière, le marigot, le puits et la citerne alimentaient les populations pour un coût nul ou très faible que la main d'oeuvre soit ou non servile.

Chez les incas, le lac Titacaca était le centre originel. Dans le Mexique aztèque, Tláloc, le dieu de la pluie symbolisé par une grenouille, était la divinité des paysans. De fait, l'eau était le facteur essentiel de la stabilité et de l'organisation des peuples pré-colombiens du Mexique. Enfin dans le nouveau monde vers 1730, la venue de la pluie était encore un phénomène divin pour Bartolomé Arzáns, chroniqueur de Potosi la plus grande ville américaine du XVIIe siècle.